L'année des élèves de 3G1 a été mobilisée par le projet "Nos héros de guerre en chanson" greffé à l'atelier de la Résistance. Revenons sur un parcours tumultueux avec les élèves de la classe et leurs professeurs, Mme Chevalley, M. Jaskowiak et M. Marot...
Voici le troisième numéro du Journal du collège.
Au programme : les animaux et le dé-confinement, les résultats du concours de dessin, une chouette vidéo sympa sur l'opéra, une délicieuse recette à tester et un conseil de lecture ....
Bonne lecture !
Jade, Clément, Luna, Arthur, Killian, Clémence
Qui a dit que les exposés et l'opéra étaient ennuyeux ? Luc Bailly de 3e6 nous prouve le contraire dans cette vidéo.
Le guide "Après la 3e" de l'Onisep est sorti le 30 mars dernier. Les exemplaires papier attendent sagement au collège qu'on puisse les distribuer sans risques.
En attendant vous le trouverez ici ou directement ci dessous
Vous faites partie d'une équipe de recherche en robotique et vous devez programmer un robot dont la fonction est de désinfecter des locaux pour limiter les risques de contamination.
Voici le scénario d'une séquence de programmation sur Scratch dans laquelle vous allez remplir 6 missions avec différents niveaux de complexité.
N'hésitez pas à échanger entre vous ou à demander conseil à vos professeurs de technologie ou de mathématiques.
Vous allez lire la nouvelle fantastique de Johann Massard, élève de 4°2, nouvelle rédigée pendant cette période difficile de confinement.
Bonne lecture,
Mme Chevalley
Je fis ce jour-là une expérience singulière… Une expérience qui se déroula une heure après la fête organisée par mes amis pour célébrer mes quarante-trois ans dans une salle des fêtes d’Arcachon, proche du bassin. Je rentrai chez moi vers trois heures du matin, ivre mort après avoir lapé six packs de bière et plusieurs verres d’alcool dépassant les 60°. Ma maison se situait au sud d’Arcachon, allée Élisée Reclus. Une charmante et grande maison, abritant seulement mon chien Kiki… et moi. Je n’avais pas de femme, car je n’étais pas un homme beau. À chaque fois que je me retrouvais avec une femme, elle m’aimait seulement pour mon argent, que je gagnais grâce à une usine de brosses de toilettes dont j’étais le patron et qui marchait du feu de Dieu.